Dans l'optique du Guide suprême de la Révolution islamique les larges capacités de la République islamique d'Iran et de la Turquie rendent le terrain propice au développement des relations entre les deux pays. « La fraternité et l'amitié qu'entretiennent actuellement l'Iran et la Turquie sont sans précédentes depuis des siècles », a affirmé, aujourd'hui mercredi, l'honorable Ayatollah Khamenei recevant le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan en visite à Téhéran.
Dans l'optique du Guide suprême de la Révolution islamique les larges capacités de la République islamique d'Iran et de la Turquie rendent le terrain propice au développement des relations entre les deux pays.
« La fraternité et l'amitié qu'entretiennent actuellement l'Iran et la Turquie sont sans précédentes depuis des siècles », a affirmé, aujourd'hui mercredi, l'honorable Ayatollah Khamenei recevant le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan en visite à Téhéran.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a jugé impératif le sérieux de Téhéran et d'Ankara dans la mise en œuvre des accords signés lors de la visite du premier ministre turc à Téhéran. « Cela aplanira le terrain à la consolidation et au développement rapide des relations bilatérales », a assuré l'honorable Ayatollah Khamenei ajoutant : « Il faut profiter judicieusement des opportunités offertes ».
En présentant les chaleureuses salutations du président et du peuple turc, Recep Tayyib Erdogan s'est, de son côté, exprimé en ces termes : « Nous considérons l'Iran comme notre deuxième maison ».
Le premier ministre turc a également qualifié de productives ses rencontres d'aujourd'hui avec le président Hassan Rouhani ainsi que les autres responsables iraniens. « Pour la Turquie, le développement croissant des relations bilatérales avec l'Iran sera un exemple à suivre pour la région, voire pour le monde », a-t-il souligné.
Monsieur Erdogan a jugé très importante la signature du document du Haut Conseil de coopération Iran-Turquie, et a précisé : « en tenant des réunions permanentes et mutuelles, nous développerons les relations de sorte qu'on dirait que les ministres des deux pays sont en négociation et coopération au sein d'un cabinet commun ».