« Les Américains persistent à semer le désordre et nous accusent d'être pessimistes. Les États-Unis ourdissent des complots et nous reprochent de ne pas leur faire confiance. Sur papier, ils autorisent les banques à entrer en transactions avec l'Iran mais en pratique, ils appliquent leur projet d'iranophobie afin d'entraver les négociations avec l'Iran. Un responsable américain a déclaré que son pays maintiendrait les structures de l'embargo afin de dissuader tout investisseur étranger de se rendre en Iran et d'investir dans le pays», a-t-il déclaré.
Le Guide suprême de la Révolution islamique, l'Ayatollah Sayed Ali Khamenei, a déclaré le 27 avril 2016, que malgré la signature des accords, les États-Unis poursuivaient une politique d'intimidation et empêchaient les banques étrangères de traiter avec l'Iran.
S'exprimant devant une foule de cadres et de travailleurs iraniens, pour célébrer la semaine du travail, son éminence a affirmé que les États-Unis jouaient avec les mots, faisaient des promesses vides et signaient des documents mais poursuivaient leur politique hostile contre nous, allant même jusqu'à nous accuser de ne pas respecter les accords !
« Les Américains persistent à semer le désordre et nous accusent d'être pessimistes. Les États-Unis ourdissent des complots et nous reprochent de ne pas leur faire confiance. Sur papier, ils autorisent les banques à entrer en transactions avec l'Iran mais en pratique, ils appliquent leur projet d'iranophobie afin d'entraver les négociations avec l'Iran. Un responsable américain a déclaré que son pays maintiendrait les structures de l'embargo afin de dissuader tout investisseur étranger de se rendre en Iran et d'investir dans le pays», a-t-il déclaré.
L'Ayatollah Khamenei a indiqué que la production nationale était une question sacrée et que la vente et la consommation de marchandises étrangères n'étaient autorisées que si elles manquaient dans le pays et non pour remplacer ce que nous produisons déjà.
Le Guide suprême a critiqué le goût de la consommation et l'intérêt pour le montage dans le pays, de marques étrangères, reprochant en outre, les importations de milliards de biens inutiles et soulignant : « J'ai rappelé à plusieurs reprises ce problème aux responsables des divers gouvernements qui ont dit que si des tarifs lourds étaient imposés, la contrebande augmenterait. Cela n'est pas une justification acceptable».
Son excellence a qualifié la contrebande de «problème grave», de «grand fléau» et de «poison pour la production nationale.
« Les gens les plus capables doivent être affectés à cette tâche et le gouvernement doit en renforçant ces organismes, lutter contre la contrebande organisée », a ajouté le Leader.
Le Guide suprême a, en titre d'exemple, fait allusion à l'intérêt manifesté par certains pour l'importation de voitures américaines.
« Les Américains eux-mêmes n'ont aucun intérêt pour ces voitures en raison de leur haute consommation et de leur poids, pourquoi devrions-nous importer des voitures de telle ou telle usine américaine en faillite ? Cela est vraiment très étonnant. Les gestionnaires et les responsables estimés de l'État doivent résister aux pressions secrètes exercées dans ces domaines, et interdire absolument de telles choses», a-t-il déclaré.
Lors de cette audience, le Guide suprême de la Révolution islamique, a affirmé que les ouvriers étaient une couche de la société fidèle à la Révolution islamique et au régime, et engagée dans tous les événements importants de la Révolution et de la période postrévolutionnaire.
Plus loin dans ses propos, il a ajouté : « Quiconque dans la société exerce un métier, est un ouvrier, qu'il s'agisse d'un directeur ou d'un professeur d'université, tous sont des ouvriers».
Évoquant le second tour des élections législatives dans plusieurs villes, le Guide suprême a rappelé l'importance des élections et de la participation au scrutin.