Le Guide suprême a évoqué les trahisons des États-Unis qui ont paralysé la mise en œuvre de l'accord nucléaire, déclarant : « Outre les politiciens, il incombe aussi aux artistes et plus particulièrement aux poètes, d'éclaircir l'opinion publique sur ces réalités. Aujourd'hui, nous sommes confrontés à une guerre idéologique, politique, culturelle et sécuritaire, et à l'infiltration. Dans ces domaines, les pensées et les volontés se battent et l'un des outils les plus efficaces dans cette bataille, est la poésie ».
A la veille de l'anniversaire de l'Imam Hassan Mojtaba (AS), le second Imam des chiites, un groupe de personnalités culturelles, de professeurs de poésie et de la littérature persanes, de jeunes poètes renommés iraniens, et de poètes du Pakistan, de l'Inde et d'Afghanistan, a été reçu par le Guide suprême de la Révolution islamique, l'Ayatollah Sayed Ali Khamenei.
Lors de cette réunion qui est organisée chaque année, le Guide suprême de la Révolution islamique a qualifié les poètes de « trésors précieux » pour le pays. Soulignant la nécessité pour la poésie, d'être vivante, d'actualité et branchée sur les grandes questions et les besoins du pays, son excellence a évoqué "la guerre idéologique" des grandes puissances contre les États indépendants, qui exige des moyens appropriés.
« La poésie fait partie de ces moyens pour neutraliser la vaste guerre médiatique et culturelle que les ennemis ont déclenchée contre l'Iran. La poésie doit être vivante, dynamique et en évolution. Elle doit être engagée dans les domaines politiques et culturels, renforcer les liens sociaux et faire face aux ennemis. La poésie contemporaine iranienne est une poésie engagée qui a donné lieu à de belles œuvres en faveur de la Palestine, du Bahreïn, du Yémen, des leaders chiites persécutés comme le Cheikh Zakzaki (cheikh courageux et déterminé du Nigeria) et des victimes de la guerre en Syrie. Une meilleure présentation de ces poèmes est une chose qui manque», a-t-il ajouté.
Le Leader de la Révolution islamique a évoqué plus loin, les trahisons des États-Unis qui ont paralysé la mise en œuvre de l'accord nucléaire, déclarant : « Outre les politiciens, il incombe aussi aux artistes et plus particulièrement aux poètes, d'éclaircir l'opinion publique sur ces réalités. Aujourd'hui, nous sommes confrontés à une guerre idéologique, politique, culturelle et sécuritaire, et à l'infiltration. Dans ces domaines, les pensées et les volontés se battent et l'un des outils les plus efficaces dans cette bataille, est la poésie ».
Au début de la réunion, 23 poètes ont récité leurs poèmes devant le Guide suprême de la Révolution islamique.
La prière du soir a ensuite été menée sous l'imamat de l'Ayatollah Khamenei, et suivie de la rupture du jeûne en compagnie du Leader.