" Cette minorité s'en est prise maintenant au Cheikh Issa Qassim, cet érudit persévérant et compétent. C'est une folie et une stupidité. Le Cheikh Issa est celui qui défendait la modération. Ces inconscients ne comprennent pas qu'en supprimant le Cheikh Issa Qassim, ils suppriment celui qui était un frein à la colère des jeunes Bahreïnis contre le régime. Maintenant, rien ne peut freiner la colère de ces jeunes", a déclaré le Guide suprême.
Lors d'une rencontre avec les familles des martyrs du 28 juin 1981 où l'Ayatollah Beheshti et 72 autres responsables de la République islamique d'Iran sont tombés en martyrs dans un attentat à la bombe, et celles des conseillers militaires défenseurs des lieux saints en Syrie, tombés en martyrs lors des batailles contre Daech, le Guide suprême de la Révolution islamique a déclaré : « Dans la guerre asymétrique lancée contre l'Iran, l'immense pouvoir de la croyance en Dieu et du djihad n'a pas été compris par l'ennemi. Ils ont créé Daech pour vaincre la République islamique d'Iran. L'Irak et la région du Levant sont des prétextes pour défaire l'Iran, mais c'est la puissance de la République islamique d'Iran qui l'emporte dans ces mêmes endroits. Celui qui défend les mausolées des Ahl ul-Bayt (AS) défend en fait sa propre société et les villes de son propre pays, et c'est une défense de l'Iran ».
L'Ayatollah Khamenei a souligné : « Chaque fois que nous nous sommes appuyés sur l'esprit révolutionnaire, nous avons progressé. Chaque fois que nous avons reculé sur nos valeurs et baissé la voix pour plaire aux puissances arrogantes, nous sommes restés sous-développés. Le chemin vers le progrès passe par la revivification de l'esprit révolutionnaire et la lutte pour l'amour de Dieu ».
Dans une autre partie de ses propos, le Guide suprême de la Révolution islamique s'est prononcé sur le Bahreïn et la décision du régime d'Al Khalifa de retirer sa nationalité à l'Ayatollah Issa Qassim, et a déclaré : « A Bahreïn, une minorité despotique et égoïste, opprime la majorité. Cette minorité s'en est prise maintenant au Cheikh Issa Qassim, cet érudit persévérant et compétent. C'est une folie et une stupidité. Le Cheikh Issa est celui qui défendait la modération. Ces inconscients ne comprennent pas qu'en supprimant le Cheikh Issa Qassim, ils suppriment celui qui était un frein à la colère des jeunes Bahreïnis contre le régime. Maintenant, rien ne peut freiner la colère de ces jeunes».