L'Ayatollah Khamenei a qualifié de nécessaire la coordination sur les questions politiques et économiques, pour élargir les relations, et a souligné la nécessité de mettre en place une commission mixte, et pour les deux parties, de redoubler d'efforts pour poursuivre les accords et les mettre en œuvre.

Le guide de la révolution islamique a également estimé qu'il était important d'élargir la coopération culturelle entre l'Iran et le Kazakhstan, et a ajouté : « En tant que philosophe et scientifique islamique d'origine kazakhe dont les travaux ont été l’objet de recherches et d’études en Iran, pendant un millier d'années, Farabi pourrait être la base d'une coopération culturelle et de la formation d'un comité scientifique conjoint entre les deux pays.

L'Ayatollah Khamenei a également déclaré à propos de l'Ukraine : « Le principal problème dans le cas de l'Ukraine, est que les Occidentaux essaient de développer l'Otan et n’hésiteront pas à étendre leur influence partout où ils le pourront ».

« Nous devons regarder les choses attentivement et être prudents, car les Américains et les Occidentaux cherchent toujours à étendre leur sphère d'influence dans différentes régions, en Asie de l'Est et de l'Ouest, et à saper l'indépendance et la souveraineté des nations », a-t-il déclaré.

Au cours de la réunion, à laquelle assistait le président de notre pays, Kassym-Jomart Tokaïev, président du Kazakhstan, a déclaré : « Nous avons eu de très bons entretiens avec M. Raisi et les documents signés par les deux parties, peuvent ouvrir la voie à un développement des relations entre les deux pays ».

Le président du Kazakhstan a qualifié de « profonds » les points communs historiques et culturels entre l'Iran et le Kazakhstan, a salué la proposition du guide suprême de former un comité scientifique, et a exprimé ses points de vue sur les questions régionales, la situation en Ukraine et la situation dans son pays, après le coup d'État manqué, le mois de janvier dernier.