De toute évidence, les ennemis sont opposés à nos élections. Cela a été le cas dès le début et au cours de ces nombreuses années. Bien sûr, à l’époque de l'imam (Que Dieu lui accorde le paradis) - en d'autres termes, dans les années 1980 - la forme de l'administration, la combinaison d'un président et d'un premier ministre, ne permettaient pas à ces inimitiés de se manifester, mais quand la loi a changé et que le président est devenu le chef de l'administration responsable des tâches exécutives, au moment des élections, l'ennemi a toujours cherché à dissuader le peuple de participer à ces élections « truquées et manipulées » et pour d’autres prétextes du même genre. Leur propagande a pour objectif que les gens ne participent pas aux élections. Ensuite, quand les gens ont participé et organisé des élections enthousiastes, ils disent : « Il est évident qu'elles ont été conçues à l’avance, et qui sortira des urnes ». Cela a toujours existé et ce n'est pas seulement le cas aujourd'hui. Ils ont toujours déclaré les mêmes choses à propos des différents candidats. Une fois qu'une personne a été élue - que ce soit celle qu'ils supposaient qu’elle gagnerait ou une autre - ils ont dit : « À quoi cela sert-il ? Le président n'a aucun pouvoir ». C’était la politique de propagande de l’ennemi, au cours de ces années, et elle se poursuit aujourd’hui.
Imam Khamenei,
27 mai 2021