Le 4 juin 2025, l’Imam Khamenei a déclaré : « Les gouvernements doivent savoir que s’appuyer sur le régime sioniste n’apportera la sécurité à aucun gouvernement. Ils ne peuvent pas assurer leur sécurité en s’appuyant sur le régime sioniste, parce que ce régime, le régime sioniste, est en train de s’effondrer, selon un décret divin certain. Et, si Dieu le veut, il ne restera pas très longtemps. Le présent article explique les causes profondes de cette réalité.
« La guerre de 1948 n’est pas encore terminée. Cette guerre ne représente qu’un épisode d’une série de conflits auxquels Israël doit se préparer pleinement afin de pouvoir, de cette manière, élargir ses frontières dans toutes les directions. » Ce passage, extrait de documents appartenant à l’état-major de l’armée du régime sioniste, montre que « l’expansion territoriale » en vue de réaliser le rêve du « Grand Israël » n’est pas une politique passagère, mais bien une stratégie fondamentale pour ce régime. Une stratégie qui, depuis la création de l’État occupant, est restée constamment à l’ordre du jour. [1]
Entretien avec la fille du martyr Sayed Fuad Shukr
Le martyr Sayed Fuad Shukr — connu sous le nom de Sayed Mohsen — fut l’un des commandants les plus discrets mais aussi les plus influents du Hezbollah. Depuis les premiers jours de la Résistance, sa vie a été marquée par une loyauté absolue envers la Wilayah, une profonde dévotion à l’école d’Achoura, et un service inlassable aux côtés de Sayed Hassan Nasrallah. À la suite de son martyre en 2024, les dimensions cachées de son djihad mené pendant des décennies — de Khaldé et la Bosnie jusqu’au front de soutien à Gaza — ont été révélées. Dans cet entretien exclusif, Khamenei.ir présente les réflexions de Mme Khadijah Shukr, fille du martyr Sayed Fuad Shukr, sur l’héritage de son père, son parcours de djihad et sa dévotion à la Résistance.
Les empreintes de l'influence occidentale sur la culture, les idéaux de beauté et l'environnement professionnel des femmes d'Asie de l'Est sont clairement visibles - une influence qui a souvent agi à l'encontre des femmes mêmes qu'elle prétend soutenir. Cet article, à travers un prisme critique, examine comment les politiques et valeurs importées de l’Occident sont devenues des outils d’exploitation et d’humiliation, plutôt que d’émancipation, pour les femmes en Asie de l’Est.
Certaines vies brillent au-delà des pages de l'histoire, devenant des phares spirituels qui illuminent les cœurs à travers les générations. Dame Fatimah Masoumah (as) fut assurément l'une de ces figures, une femme dont la vie de dévotion, de migration et de connaissance fit d'elle un être vénéré.
Après la victoire des États-Unis sur le Mexique lors de la guerre de 1848 et la signature du traité de Guadalupe Hidalgo, les immigrants européens qui se sont installés dans les terres nouvellement conquises de l’ouest et du sud-ouest ont fait preuve d’un comportement extrêmement raciste envers les Latinos qui y résidaient et envers les immigrants mexicains. À partir de cette année-là, et pendant plus de 70 ans, des milliers d’incidents de lynchage [1] impliquant des immigrants ou des citoyens latino-américains ont été signalés aux États-Unis. L’une des exécutions les plus notoires fut celle de Josefa Segovia, une Mexicaine qui est historiquement décrite comme « bavarde » et « infâme ». Cet incident n’était que la partie visible de l’iceberg de la vision méprisante que les États-Unis avaient et continuent d’avoir envers les femmes latino-américaines.
Sept jours après la naissance d’un enfant au Sénégal, les membres de la famille et les proches se réunissent pour rendre visite à la mère et au nouveau-né lors d’une fête appelée « Nguenté ». Cette fête mémorable, souvent organisée de manière encore plus somptueuse qu’un mariage, voit tout le monde apporter des cadeaux à la mère. Des objets comme des tissus, des bijoux et des vêtements font partie des cadeaux, qui sont censés créer un souvenir joyeux de la naissance de l’enfant pour la mère, car l’enfant est considéré comme un cadeau de Dieu et une bénédiction divine.
En 1920, la même année où les femmes américaines ont obtenu pour la première fois le droit de vote, la loi interdisant la production, le transport et la vente d'alcool est devenue une loi fédérale aux États-Unis. Le soutien des femmes américaines à la légalisation de la lutte contre la consommation d'alcool a montré leur compréhension sociale des conséquences de la dépendance à ce type de boissons et a été un indicateur des valeurs de la culture traditionnelle des États-Unis. Cette même année, Olive Thomas buvait et fumait dans le film comique Flapper, et était en même temps victime de sa famille traditionnelle.