"J'ai été un certain temps exilé dans la province du Sistan-Baloutchistan et j'ai vu de près les conditions de vie des habitants de cette province. De nombreuses villes de cette province n'avaient pas un nombre suffisant d'écoles secondaires. Il n'y avait qu'une seule université dans cette province de très faible qualité. Aujourd'hui, il y a des universités dans différentes villes et provinces, à travers tout le pays, ce qui signifie que les habitants de toutes les villes ont accès à l'éducation. C'est la justice. Cela signifie que les possibilités d'éducation ont été réparties équitablement dans tout le pays. Les possibilités matérielles, les ressources financières et les possibilités éducatives sont équitablement réparties dans le pays, ce qui est très appréciable. Dans le passé, les gens doués qui vivaient dans des villes éloignées, n'avaient pas la possibilité de développer leur talent. Aujourd'hui, ce n'est plus le cas. Dans la ville d'Esfarayen ou d'autres régions du pays, des gens de talent sont accueillis par différentes organisations et peuvent développer leurs aptitudes. Ce n'était pas le cas dans le passé. Par conséquent, par rapport au passé, nous avons un bon niveau de progrès qui est le signe de la justice. Mais par rapport à ce que l'islam exige de nous, nous avons encore des lacunes et devons travailler dur et faire des efforts."

(Extrait de : Discours du Guide suprême aux habitants de la ville d'Esfarayen, 13 octobre 2012)