le Guide suprême de la Révolution islamique, l'Ayatollah Khamenei qui a reçu dimanche le président vénézuélien, a souligné que l'Iran et le Venezuela devaient favoriser la puissance du front des pays indépendants en élargissant de plus en plus leurs coopérations.
Le Guide suprême de la Révolution islamique a rappelé: « pour confronter l'ennemi, le renforcement spirituel et moral sont indispensables, si l'esprit de l'invulnérabilité et de la résistance s'ancrent chez l'homme, l'échec sera chassé de la scène de la pratique. »

Faisant allusion aux défaites successive des Etats-Unis dans les différents points du monde, le Guide suprême de la Révolution a conclu que leurs déboires témoignaient de la diminution flagrante de la puissance américaine et attesteraient la réalité indéniable de l'évolution du monde.

Le Leader de la République islamique a rappelé les échecs des Etats-Unis et les lourdes dépenses de ce gouvernement en Irak, en Afghanistan, en Palestine et au Liban, et a déclaré que dans le cas d'Iran, les Etats-Unis avaient subi un plus intense échec qu'aux autres pays. »

L'Ayatollah Khamenei a continué « de même, dans l'Amérique latine, la région appelée depuis longtemps comme la propriété privée des Etats-Unis, la situation a changé et une nouvelle puissance s'y est émergée avec succès.

Le Guide suprême de la Révolution a déclaré que les succès du front de résistance, étaient dus à la volonté et aux efforts des peuples et à l'appui de Dieu et qu'il fallait augmenter ces efforts pour accroître la puissance du front de résistance.
L'Ayatollah Khamenei a enfin, prôné pour le développement des relations Téhéran- Caracas, dans tous les domaines, politique, économique, industriel et routier.

Dans cette rencontre où assisté également le Président iranien, le Président vénézuélien, M. Hugo Chavez a manifesté son contentement d'avoir rencontré de nouveau l'Ayatollah Khamenei, et a fait part de ses négociations fructueuses, avec son homologue iranien et a déclaré que dans les entretiens bilatéraux, les deux partis se sont accordés sur le développement croissant des coopérations, y compris la mise en place de l'assemblée générale d'une banque commune.