L'Ayatollah Khamenei a appelé les gens à la "résistance" face à "l'invasion culturelle" occidentale, notamment concernant le principe de la liberté d'expression, et a déclaré : « Les pays qui prétendent être libres ont des lignes rouges qu'ils défendent avec force. Comment attendraient-ils nous que nous ne défendions pas nos lignes rouges dans les domaines des croyances et des valeurs révolutionnaires ? Dans les pays européens, personne n'ose parler de l'Holocauste (...) dont on ne sait pas s'il fut une chose réelle ou non, ni comment il s'est déroulé (...) Mettre en doute l'Holocauste est considéré dans ces pays, comme une grande faute et ils arrêtent et poursuivent en justice les gens qui le font tout en prétendant être libres. Si quelqu'un tente de ridiculiser notre volonté d'indépendance nationale, de théoriser la dépendance, d'insulter les principes moraux et religieux, d'attaquer les principaux slogans de la Révolution, d'humilier la langue persane et les coutumes nationales, et de nuire à la dignité nationale de la jeunesse iranienne par la promotion de la débauche, devons-nous rester indifférents à ces activités destructrices ? ».
Le Guide suprême de la Révolution islamique a insisté sur le renforcement des capacités internes afin de neutraliser les sanctions étrangères.
Au premier jour du Nouvel an iranien, le Guide suprême de la Révolution islamique a pris la parole devant des millions de pèlerins au saint mausolée de l'Imam Réza (AS) dans la ville sainte de Machhad. Son Éminence a illustré les différentes dimensions du slogan de cette année baptisée «Année de volonté nationale et de gestion de djihad dans l'économie et la culture ».
«Nous devons nous renforcer de sorte que les pouvoirs oppresseurs et les intimidateurs mondiaux ne puissent violer aucun des droits de la nation iranienne», a déclaré le Guide suprême de la Révolution islamique pour qui une nation ne se renforce pas par des armes avancées mais par trois éléments, l'économie, la culture et la science.
Dans la première partie de son discours, le Guide suprême de la Révolution islamique a déclaré que les pas importants et les expériences réussies de la nation iranienne ainsi que les énormes capacités du pays étaient les raisons de la nomination de cette année ajoutant : « Le chemin glorieux de la puissance nationale sera parcouru à un rythme plus rapide avec la concentration des responsables et des gens sur ce slogan ».
Se référant aux politiques de l'économie de la résistance, Son Éminence a dit : « L'économie de résistance est un modèle scientifique en accord avec les besoins du pays. De nombreux autres pays se sont tournés vers l'économie de résistance afin de réduire l'influence des fluctuations économiques et sociales internationales et en fonction de leurs conditions spécifiques. Malheureusement, certains analystes et auteurs d'articles essaient de bloquer le chemin qui rendra l'économie du pays plus résistante et assurera le bonheur du peuple tout en gardant des relations juste avec la communauté internationale»
Le Guide suprême de la Révolution islamique a déclaré que la culture jouait un rôle très important dans le renforcement de l'économie nationale et a déclaré que cette question était même plus importante que l'économie.
Dans une autre partie de son discours, l'Ayatollah Khamenei a abordé la question de la culture déclarant : «La culture est comme l'air que nous respirons. Vous devez respirer que vous le vouliez ou non. Si cet air est propre, il aura certains effets sur votre corps. S'il est pollué, il aura d'autres effets. La culture d'un pays est comme l'air que nous respirons. L'intérêt des ennemis pour la culture montre l'importance de cette question. Les responsables des domaines culturels doivent avec sensibilité et vigilance, veiller aux vulnérabilités culturelles très dangereuses et s'acquitter de leurs responsabilités à cet égard. La liberté est un des principaux slogans de la Révolution et l'une des bases les plus importantes de la République islamique. La sensibilité des fonctionnaires sur les vulnérabilités et les écarts culturels ne contredit pas du tout la liberté parce que la liberté qui est une grande bénédiction divine, n'a rien à voir avec la décadence, l'indifférence et le manque de responsabilités».
L'Ayatollah Khamenei a appelé les gens à la "résistance" face à "l'invasion culturelle" occidentale, notamment concernant le principe de la liberté d'expression, et a déclaré : « Les pays qui prétendent être libres ont des lignes rouges qu'ils défendent avec force. Comment attendraient-ils nous que nous ne défendions pas nos lignes rouges dans les domaines des croyances et des valeurs révolutionnaires ? Dans les pays européens, personne n'ose parler de l'Holocauste (...) dont on ne sait pas s'il fut une chose réelle ou non, ni comment il s'est déroulé (...) Mettre en doute l'Holocauste est considéré dans ces pays, comme une grande faute et ils arrêtent et poursuivent en justice les gens qui le font tout en prétendant être libres. Si quelqu'un tente de ridiculiser notre volonté d'indépendance nationale, de théoriser la dépendance, d'insulter les principes moraux et religieux, d'attaquer les principaux slogans de la Révolution, d'humilier la langue persane et les coutumes nationales, et de nuire à la dignité nationale de la jeunesse iranienne par la promotion de la débauche, devons-nous rester indifférents à ces activités destructrices ? ».
Son Éminence a ensuite fait référence à l'intolérance des Occidentaux face à des questions comme le hijab et à leurs préjugés sur certains pays qui sont « des signes de l'intolérance des Occidentaux » et regretté que certaines personnes encouragent les gens nobles et culturellement avancés de l'Iran à imiter cette culture décadente.
Il a ensuite qualifié d'événements importants la onzième élection présidentielle et les rassemblements du 22 Bahman, et de « messages forts et expressifs » pour annoncer la vérité sur l'Iran et le peuple iranien face aux invasions culturelles des réseaux mondiaux, soulignant : « Le point important à propos des élections dans la République islamique, est que le taux de participation n'a pas diminué depuis le début de la Révolution. Lors de la onzième élection présidentielle aussi, nous avons été témoins d'un fort taux de participation de 72% aux élections ».
Le Guide suprême de la Révolution islamique a ajouté: « Au cours des négociations sur le nucléaire, les politiciens américains ont essayé de montrer de façon grossière, que le peuple d'Iran avaient changé d'avis au sujet de ses slogans et de ses principes. Cela a poussé les gens à montrer leur présence sur la scène, leur sensibilité et leur engagement. Les gens ont montré qu'ils étaient fidèles à la République islamique, à l'Islam et au gouvernement islamique ».
À la fin de ses déclarations, l'Ayatollah Khamenei a souligné les échecs des États-Unis dans différents pays comme la Palestine, la Syrie, l'Irak, l'Afghanistan et le Pakistan, et que les réalités de la communauté mondiale n'avançaient pas conformément à leurs souhaits.