Ceci est un extrait des propos du Guide Suprême de la Révolution lors d'une rencontre avec les combattants du Djihad et les écrivains du centre de littérature et d'art sur la Résistance, le 28 août 2005.
Le plus dur pour une nation, en temps de guerre, de problèmes économiques ou de pressions politiques, est de montrer ses capacités, de les connaitre, de voir comment elle peut les présenter et de voir si elle mérite de survivre.
Les meilleures œuvres ou une grande partie d'entre elles, apparaissent à ces époques.
Si vous jetez un coup d'œil sur les romans, vous verrez que les plus grands romans remontent à des époques où les nations faisaient ce genre d'exploits. « Guerre et Paix » de Tolstoï raconte l'histoire de la résistance des Russes contre l'attaque de Napoléon et du grand mouvement des habitants de Moscou pour vaincre Napoléon. Tolstoï a écrit d'autres grands livres, mais je crois que le point fort de cette œuvre est qu'elle se base sur la résistance russe.
Il en est de même dans les livres sur la révolution communiste, la Révolution française ou encore les guerres entre la France et l'Allemagne et la résistance du peuple français. On peut aussi citer les livres d'Emile Zola. Les meilleurs romans apparaissent aux moments stratégiques où un peuple a pu prouver ses capacités.
Il en est de même avec la peinture.
Les plus belles peintures du monde brossent, paraît-il, des scènes de guerre comme la scène de « la bataille de Waterloo » de Clément-Auguste Andrieux.