"J'étais très ami avec deux religieux qui sont tombés en martyrs. Bien sûr, beaucoup de jeunes étudiants des centres islamiques sont allés au champ de bataille pendant la guerre et sont tombés en martyrs. J'ai vu les noms de ces martyrs, mais je n'ai pas eu l'occasion de les rencontrer en personne. J'en connaissais seulement deux d'entre eux, Acheikh Qassem Sadeghi Garmei qui était originaire de Garmeh et le regretté Tayyebi. Hadj Cheikh Qassem Sadeqi avait des débats académiques avec moi. Nous aimions discuter sur le «Sharh-e-Lam'e" et le "Makasib". Il était le symbole d'un homme talentueux. S'il avait continué ses études, il serait certainement devenu un remarquable chercheur religieux. Mais à cette époque, les étudiants des centres islamiques ne recevaient pas d'orientation, de soutien ou d'aide financière pour poursuivre leurs études. Cela n'existait pas à cette époque. Il a donc abandonné et commencé une carrière différente. Bien sûr, après la Révolution, à la fois Asheikh Qassem Sadeghi Garmei et le défunt Tayyebi sont devenus des députés du Parlement et faisaient partis des 72 membres du Parti républicain islamique qui ont été tués dans l'attentat."
(Extrait de : Discours du Guide suprême aux étudiants et aux professeurs du centre islamique du Khorasan du Nord, 10 octobre 2012)