En raison des restrictions relatives aux coronavirus et des recommandations du comité national de lutte contre le Corona, seuls quelques commandants de cette Force ont assisté à la réunion.

« Au nom de Dieu, le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux

Louange à Allah, Seigneur de l'univers, et paix et salutations à notre Maître Muhammad, et à sa lignée pure, en particulier celui qui représente le trésor d'Allah sur Terre !

Vous êtes les bienvenus. Je suis heureux et je remercie Dieu de m’avoir donné une autre occasion de vous rencontrer, chers frères, courageux et à l’avant-garde, en un jour aussi important, qui est l'un des jours d'Allah (Youm-Allah).

L’événement du 19 Bahman a été une des merveilles de la Révolution islamique

Le 19 Bahman de l’année 1357 (8 février 1979) a été une des merveilles de la Révolution islamique. En fait, la Révolution n'a pas manqué d’évènements merveilleux, elle en a vu des milliers au cours de ces années. L'un des premiers et des plus importants a été le 19 Bahman. Le fait qu'une partie importante de l'armée taghuti [du régime Pahlavi] se soit séparée de l'armée et ait prêté allégeance à l'Imam [Khomeiny] et au peuple, était un événement très important qui a encouragé l’ensemble de l’armée à se rallier à la République islamique. Quant aux commandants de l'armée, lorsqu'ils ont été témoins de cette réalité, ils n'ont eu d'autre choix que de déclarer leur neutralité alors que leur neutralité à ce moment, n'avait aucun sens. Comment une armée taghuti pouvait-elle être neutre dans la défense de son régime souverain taghuti ? Cependant, ils ont déclaré leur neutralité parce qu'ils n'avaient pas d'autre choix quand ils ont vu que presque toute l'armée avait rejoint le peuple. C'était comme un miracle. C'était vraiment un phénomène miraculeux. Le régime taghuti comptait principalement sur son armée et sur la Savak, n'avait aucun lien avec le peuple et ne comptait pas sur le peuple. À l'extérieur, ils comptaient sur les États-Unis, et à l'intérieur, ils comptaient sur l'armée et la Savak. Et en l'occurrence, c'est cet espoir et cette confiance au démon qui sont devenus un facteur important de la destruction du démon lui-même. C'est sans aucun doute un miracle. En fait, un des facteurs les plus importants de la victoire de la Révolution a été l’alliance de l’armée et du peuple. Si cela n'avait pas eu lieu et si un conflit avait éclaté entre le peuple et l'armée, nous aurions été témoins d'horribles désastres. Le fait que l'armée et les Forces de l'air aient joué un rôle de pionniers dans ce domaine, et aient rejoint le peuple, a aidé la Révolution à remporter la victoire sans problèmes graves et imprévisibles.

 

L'échec du projet de coup d’état des Américains au début de la Révolution

Bien sûr, les Américains ont compté sur l'armée jusqu'au dernier moment. Ils pensaient que l'armée pouvait s'opposer à la Révolution et ils avaient prévu un coup d'État. Vous avez peut-être vu cela dans certaines sources et c'est absolument vrai. Le coup d'État devait être lancé au mois de Bahman (janvier-février 1979) dans le but d’arrêter les dirigeants et l’avant-garde de la Révolution, et de réprimer le peuple dix fois plus violemment que lors du coup d’état du 28 Mordad (19 août 1953). Il devait éliminer tous les obstacles humains qui se trouvaient devant lui, et avait été organisé par les États-Unis. Le célèbre général [Robert Ernest] Huyser, qui était un agent américain hors pair au sein de l'Otan et venait souvent en Iran, a écrit dans ses mémoires, qu'il avait été autorisé par le général Brown - le ministre américain de la Défense sous l’administration [américaine] de l'époque qui à cette époque aussi, était une administration démocrate – d’empêcher le renversement du régime du Shah par tous les moyens possibles, même au prix de la mort de dizaines de milliers de personnes. Un tel coup d'État était au programme. Cependant, l'une des choses qui a déjoué ce complot satanique a été la décision des Forces de l’air et leur allégeance à l'imam. Peut-être que les jeunes qui sont venus et ont prêté allégeance à l'Imam ce jour-là - j'étais présent là-bas et je l'ai vu de près – ne pensaient pas que leur décision était si importante.

L'erreur de calcul des Américains dans l'examen de la situation du pays, du peuple et de l'armée

Un point remarquable dont nous devons tirer leçon aujourd’hui et aussi dans le futur, est qu’en examinant la situation du pays, de l'armée et du peuple, les Américains ont commis une grave erreur de calcul. C'est un point important. Ils ont fait une erreur de calcul. Leurs faux espoirs au sujet de l'armée, venaient de cette erreur de calcul et ils ont été surpris, à cause de cette erreur de calcul. Dans les documents qui ont été publiés après de nombreuses années, ils ont reconnu qu’avant le mois de Bahman de 1357 (février 1979), ils ne prévoyaient pas le renversement du Chah et de la dynastie des Pahlavis. Ils n'y pensaient pas du tout ! Plus important encore, quelques jours avant le 22 Bahman (11 février 1979), le Pentagone avait annoncé que la chute du régime du Chah était impossible. Cela signifie qu'ils avaient très mal compris et commis de grandes erreurs de calcul. Ils disaient que l'armée avait un contrôle total et que la chute du régime était impossible. Bien sûr, l'armée iranienne était plus importante que le Chah pour les Américains. Ils pensaient que si le Shah mourait, ils le remplaceraient par une autre personne. L'armée était vraiment importante pour eux et ils comptaient beaucoup sur elle. Cependant, cette même armée - si importante pour les Américains, sur laquelle ils avaient travaillé si dur et où ils avaient 40000 conseillers à l'époque - est devenue un facteur important de la défaite du régime taghuti et de la destruction des espoirs américains en Iran. Dieu dit dans le Saint Coran : « Mais Dieu est venu à eux par où ils ne s'attendaient point » [59 : 2]. Ils ont reçu un coup et une gifle inattendue.

La poursuite des erreurs de calcul des États-Unis, dans la sédition de 2009, et sur la question des sanctions

Bien sûr, ils continuent de faire les mêmes erreurs de calcul. En d'autres termes, les Américains jusqu'à aujourd'hui, font des erreurs de calcul sur l'Iran et leurs calculs politiques ne fonctionnent vraiment pas. Ils ne comprennent pas nos questions et ne connaissent pas non plus notre nation. Ils ne connaissent pas encore la nation iranienne et c'est pourquoi ils se trompent constamment. Par exemple, les Américains ont commis une erreur lors de la sédition de 2009. Le président démocrate de l'époque [Barak Obama] a officiellement soutenu et défendu la sédition, parce qu'il pensait qu'elle mettrait fin à la République islamique une fois pour toutes, mais c'était encore une erreur de calcul.

Il en est de même pour les sanctions. Avec leurs sanctions « sans précédent » et « tous azimuts » - comme ils l'ont dit, à juste titre, car des sanctions similaires n'ont jamais existé dans l'histoire - ils pensaient qu'ils mettraient l'Iran à genoux. Eh bien, c'était une erreur de calcul et un faux espoir. L'un de ces ignorants de premier ordre [John Bolton], à qui j'ai fait référence une fois, a dit il y a deux ou trois ans, qu'ils célébreraient le Noël de 2019 à Téhéran ! Ils espéraient que la République islamique aurait disparu en 2019 et qu’ils célébreraient (Noël) à Téhéran. Cependant, cette personne a été jetée dans la poubelle de l'Histoire ainsi que son patron [Donald Trump] qui a également été expulsé de la Maison Blanche avec un coup de pied dans le dos et d’une manière honteuse. Ils ont tous deux été jetés dans la poubelle de l'Histoire, et la République islamique se tient heureusement debout, d'une manière glorieuse.

Les facteurs de succès face aux ennemis

Bien sûr, il ne faut pas simplifier les choses. L’ennemi fait des erreurs de calcul mais nous devons savoir que les problèmes du système de calcul de l’ennemi ne nous apporteront pas nécessairement le succès. Nous devons travailler et faire des efforts. La présence du peuple sur la scène et sa conviction de la nécessité de manifester sa présence, la confiance du peuple et des responsables aux promesses divines et leur coopération, ont été et seront efficaces. Si notre magnanime Imam[Khomeiny] n'avait pas ordonné de ne pas tenir compte du couvre-feu imposé les 21 et 22 Bahman (10 et 11 février 1979), les choses auraient pu évoluer d'une manière différente. En d'autres termes, on ne peut pas avoir de résultats en restant assis et en regardant les bras croisés, en espérant que l'ennemi commettra une erreur. Il faut travailler, être présent dans l'arène, faire confiance à Dieu et travailler avec diligence. Nous devons constamment formuler des plans en réponse aux plans de l’ennemi. C'est la responsabilité des dirigeants. Nous devons accroître le pouvoir national et le pouvoir des Forces armées. Nous devons être puissants et le montrer dans la pratique. C’est la raison pour laquelle j’ai toujours souligné que les Forces armées, religieuses et populaires - heureusement, nos Forces armées, l’armée, le Corps des Gardiens, le Bassidj et la police, sont à la fois des forces religieuses et des forces populaires - doivent être renforcées. C'est un des devoirs des responsables du pays et bien entendu ce renforcement des Forces armées doit être en accord avec les circonstances régionales et internationales, et doit être basé sur les priorités. Je l'ai toujours dit aux responsables militaires et aux responsables du pays.

Heureusement, au cours des deux derniers mois, l'armée, le Corps des Gardiens et le ministère de la Défense ont montré à tous, des réalisations exceptionnelles. Notre population et le monde entier ont regardé les récentes manœuvres militaires - il y en a eu à peu près dix. Les chaines satellitaires avec inquiétude, les ont enregistrées, les gens les ont louées et certains ont exprimé leur surprise car c'était vraiment impressionnant, en particulier sous le régime des sanctions. En effet, notre accès à l’information, au matériel, aux ressources et aux équipements à l’extérieur du pays, est très limité. Cependant, malgré ces restrictions, nos Forces armées - notre ministère de la Défense, notre armée et notre Corps des Gardiens - ont réussi à accomplir un si grand exploit. Il s’agissait en fait de l’application de l’édit du Commandeur des Croyants, bien connu, à Malik al-Ashtar où le Commandeur des Croyants déclare : « L'armée est, par la volonté d'Allah, la forteresse des citoyens … et le garant de la paix » [Nahj-ul-Balaghah, lettre 53]. Les Forces armées sont une source de sécurité pour le pays, et une source de fierté pour tout pays qui peut assurer sa sécurité nationale par le biais de ses propres éléments, ses propres jeunes et ses propres forces armées, sans attendre que les autres le fassent pour lui. Bien entendu, vous devez savoir que le renforcement des Forces armées ne se limite pas à leur fournir des équipements et des ressources. L'équipement et les ressources, ainsi que l'organisation des Forces font partie du travail, mais un autre élément important est de renforcer le moral, la foi et la puissance spirituelle des Forces armées. Renforcer les Forces armées signifie tout cela et l'aspect spirituel en fait certainement partie aussi.

La grosse erreur que font certains pays en demandant aux États-Unis d’assurer leur sécurité

Certains pays font une grande erreur en demandant aux États-Unis d’assurer leur sécurité nationale. Ils n’ont ni la volonté ni les capacités de le faire à eux seuls, ni une compréhension correcte des enjeux internationaux. Le résultat est que ces pays dépensent des milliards, se font humilier et insulter, et aux périodes sensibles, leur sécurité n'est en aucun cas assurée. Dans les moments sensibles, ceux en qui ils avaient placé leurs espoirs, cessent de les soutenir. Vous avez constaté qu'après les incidents en Égypte, en Tunisie et dans d'autres pays similaires, les États-Unis ont cessé de soutenir ceux qui étaient au sommet du pouvoir dans ces pays, et étaient fidèles aux États-Unis. Qu'auraient-ils pu faire face au peuple et à son mouvement ? La même chose est arrivée à Mohammad Reza Pahlavi [en Iran]. Lorsqu'il a fui le pays, il voulait aller un certain temps aux États-Unis, mais les Américains l'ont expulsé, et il a été forcé d'aller à Panama et de là, dans tel ou tel autre pays. Les Américains ne l'ont pas gardé alors qu’il avait travaillé si dur pour eux et leur avait rendu tant de services en espérant qu'ils l'aideraient. C’est ce qui se passera si nous comptons sur les autres. Par contre, si nous comptons sur notre propre pouvoir et demandons l'aide de Dieu, pour assurer nous-mêmes notre sécurité nationale, le résultat sera la dignité dont la République islamique jouit heureusement. Par conséquent, les erreurs de calcul de l’ennemi, auxquelles j’ai fait allusion, sont un point important.

Être intimidé par l’ennemi et compter sur les étrangers sont de graves erreurs

De telles erreurs de calcul existent également dans les domaines économiques et dans d’autres domaines. Nous devons prêter attention à cette question et en tirer profit. Cependant, nous devons également faire attention à nos propres erreurs. Une des erreurs que certains d’entre nous pourraient commettre est de se laisser intimider par la puissance de l’ennemi. C'est une grave erreur. C'est l'une des erreurs que nous pourrions commettre. Une autre erreur est de placer nos espoirs en lui. En raison de notre situation, nous pourrions vouloir compter sur les étrangers dans une partie de nos affaires - les questions économiques, politiques et internationales - alors que ces pays étrangers souhaitent transgresser, piller nos ressources et s’ingérer dans nos affaires. Ce serait une grave erreur. Bien sûr, cela ne signifie pas que nous devions exagérer notre pouvoir intérieur. Nous devons être réalistes et également essayer de l’améliorer. Dans tous les cas, je recommande de ne pas nous laisser intimider par l'ennemi, quelles que soient nos capacités. Si nous sommes intimidés, cela nous empêchera d’agir.

Le déclin du prestige, du pouvoir et de la société des États-Unis

Ceux qui ont une idée irréaliste du pouvoir des États-Unis et de certaines autres puissances, devraient prêter une attention particulière à ces réalités. Les puissances mondiales font beaucoup de bruit et exagèrent leurs capacités, mais ce n'est pas la vérité. En ce qui concerne les incidents récents qui ont eu lieu aux États-Unis - la chute de Trump de manière si humiliante, et les événements survenus autour de cette question, qui ne sont pas des événements mineurs - je dois dire qu'il ne s'agissait pas seulement du déclin d'un président inapte, mais plutôt du déclin du prestige, du pouvoir et du système social des États-Unis. Ce n'est pas moi qui le dis, ils l’ont reconnu eux-mêmes. Des personnalités politiques importantes ont annoncé que le système américain se détériore de l'intérieur. Cela a été dit par les Américains eux-mêmes après les récents incidents. Ils ont dit que le système social américain était en train de se détériorer de l’intérieur. C'est une déclaration très importante. D'autres ont dit que le post-américanisme avait commencé. Ce sont leurs propres commentaires et c'est vrai. Ils ont sûrement des problèmes économiques, mais leur principal problème est le déclin de leur système social et politique, et cela montre qu'ils sont très fragiles.

 

L’empire médiatique cherche à dissimuler le déclin américain

Si l'incident survenu aux États-Unis s'était produit dans un autre pays, en particulier dans des pays qui ne sont pas en bons termes avec les États-Unis, ils n’auraient pas cessé d’en parler ! L'empire médiatique dans le monde, est sous leur contrôle, et par conséquent, ils essaient de dissimuler (ce qui s’est passé) et de faire croire que le problème est terminé et réglé, alors qu’il est loin d'être réglé. La question est très importante et elle continuera à avoir des conséquences. Les États-Unis ont vraiment décliné et c'est pourquoi les gouvernements qui dépendent des États-Unis dans la région, en particulier le régime sioniste, sont inquiets et perplexes. Les récents propos insensés des autorités de l’entité sioniste, viennent de leur peur, de leur inquiétude et de leur anxiété, suite à ce qui s'est passé aux États-Unis. Bien sûr, ils l'ont bien compris. Le monde est témoin du déclin des États-Unis au niveau national et international.

Les États-Unis et les trois pays européens n'ont pas le droit de fixer des conditions pour la poursuite du JCPOA

Quant à la question des sanctions, eh bien, aujourd'hui, on entend certaines choses dans le monde ! Les Européens et les Américains font certaines déclarations. Tout d'abord, personne en République islamique n'écoute les commentaires insensés de ces babillards de mauvaise foi - que ce soit en Europe ou aux États-Unis. Ils font des commentaires insensés et personne ne les écoute. Deuxièmement, si nous voulons être raisonnables et parler raisonnablement, ce sont les États-Unis et les trois pays européens qui ont violé tous leurs engagements dans le cadre du JCPOA. Par conséquent, ils n'ont pas le droit de mettre des conditions pour la poursuite du JCPOA. Ils n'ont rempli aucun de leurs engagements vis-à-vis du JCPOA. Ce n'est que pendant une courte période qu'ils ont temporairement levé certaines sanctions, mais pas toutes. Plus tard, ils les ont restaurées et même intensifiées. Ils les ont même multipliées par deux ou trois. Par conséquent, ils n'ont pas le droit de fixer des conditions.

La politique définitive de la République islamique vis-à-vis du JCPOA

La partie qui a le droit de fixer des conditions pour la poursuite du JCPOA est l'Iran. La raison est que dès le début, l'Iran a rempli tous ses engagements. La République islamique a rempli tous ses engagements vis-à-vis du JCPOA, mais ils ont violé les leurs. Par conséquent, c’est nous qui avons le droit de fixer des conditions pour la poursuite du JCPOA. Récemment, nous avons posé une condition et personne ne reviendra de cette décision. Notre condition est que s'ils veulent que l'Iran revienne à ses engagements dans le cadre du JCPOA - dont certains ont été annulés - les États-Unis doivent lever toutes les sanctions, pas en paroles et sur papier, mais dans la pratique. Après cela, nous vérifierons si elles ont vraiment été levées puis nous reviendrons à nos engagements dans le cadre du JCPOA. C'est la politique définitive de la République islamique et elle a été approuvée par tous les responsables du pays. Par conséquent, nous ne reviendrons pas sur cette politique.

L'unité entre les responsables et le peuple éliminera de nombreux problèmes

Ma ferme recommandation est l'unité. Les responsables du pays et les personnes chargées des principaux problèmes du pays, doivent être unis. Le peuple doit préserver son unité. Heureusement, grâce à son unité, la nation iranienne a réussi à éliminer de nombreux problèmes. Désormais aussi, cette unité doit exister. Les responsables doivent avancer de manière harmonieuse et unanime. Les Forces armées doivent s'acquitter de leurs importantes fonctions et continuer à renforcer le pays, In cha-Allah. Certes, grâce à Dieu et aux prières de l’Imam du Temps (que nos âmes lui soient sacrifiées), l’avenir du peuple iranien et du pays sera bien meilleur qu’aujourd’hui. J'espère que Dieu aidera notre nation à bénéficier des bénédictions du sang des martyrs et fera que l'âme pure de notre magnanime Imam [Khomeiny] soit satisfaite et contente de nous tous.

Avec mes salutations et que la miséricorde d'Allah et Ses bénédictions vous accompagnent !