« Le livre "Les enfants de l'Arbat" [d'Anatoli Rybakov] est un roman antistalinien. […] On peut dire que Staline, qui avait acquis de l'expérience dans une école religieuse ou une école chrétienne orthodoxe, a été rhétoriquement doué pour parler au peuple… » [1]

«  À certaines époques comme celle de Staline, le pouvoir était entre les mains d'une seule personne. Plus tard, le noyau central du parti communiste composé de ces individus, a pris le contrôle de tout le pays. Beaucoup de pressions ont été infligées au peuple. De nombreuses restrictions ont été imposées. Le peuple a subi de grandes épreuves. Certains ouvrages ont réussi à franchir la frontière et ont été traduits en persan et j'avais l'habitude de les lire. Avant l'effondrement de l'Union soviétique, beaucoup de ces dimensions amères et désagréables étaient restées cachées. C'est seulement après l'effondrement de l'Union soviétique que les informations ont été données sur ce qu'ils avaient fait et les contraintes qu'ils avaient imposées au peuple. Les œuvres littéraires de l'époque montrent les difficultés que le peuple de Russie a traversées à l'époque de l'Union soviétique. La révolution a totalement déraillée dès le début, et les promesses initiales n'ont pas du tout été respectées. » [2]

[1] Discours de l'Ayatollah Khamenei lors d'une réunion avec les membres de l’Association des Écrivains Musulmans, le 20 octobre 1991.
[2] Discours de l'Ayatollah Khamenei lors d'une réunion avec des étudiants, le 10 août 2011.