Ce qui suit est le texte intégral du discours prononcé, le 11 décembre 2025 par l’Imam Khamenei, Guide suprême de la Révolution islamique, lors d’une rencontre avec des chanteurs religieux à l’occasion de l’anniversaire de la naissance de Fatimah Zahra (AS).
Au nom d’Allah, le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux
Louange à Allah, Seigneur de l’Univers et paix et salutations à notre Maître et Prophète, Ab-al-Qassem Al-Mustafa Muhammad, et à sa Lignée pure, immaculée et infaillible, en particulier celui qui représente le trésor d’Allah sur Terre !
Soyez les bienvenus, mes chers frères et sœurs. Nous avons vraiment bénéficié des performances des chers frères ici. Les poèmes riches en contenu et pleins de sens, ont actualisé ce rassemblement. Il existe de nombreux rassemblements qui attirent les foules, mais ils n’appartiennent pas à notre période. Ce rassemblement par contre, est adapté à cette époque. Ces poèmes, ces mouvements, ces déclarations, vos paroles, votre assemblée et votre ferveur ont véritablement actualisé ce rassemblement.
Je présente mes félicitations à l’occasion de la naissance de Sayedat al-Nisâ, Seddiqah al-Tahirah, (paix sur elle), et de la naissance de notre vénéré Imam Khomeiny. En ce qui concerne Seddiqah al-Tahirah, je me contenterai d’une seule phrase, car les vertus, les mérites et les qualités exceptionnelles de cette femme, divine et céleste, dépassent ce que nous pouvons exprimer dans nos discours, et dans notre compréhension, notre conception et notre perception. Mais on peut dire qu’elle était un modèle. Ne voulons-nous pas agir selon un modèle ? Ne souhaitons-nous pas vivre à la manière de Fatimah ? Elle était un modèle. Nous devons agir et avancer conformément à son comportement et à ses actions. Elle était un modèle de religiosité, un modèle de justice, un modèle de lutte dans la voie de Dieu. La lutte qu’a menée Fatimah Zahra (paix sur elle) est l’une des plus difficiles et incomparables, par rapport à toutes les batailles du Prophète. Elle était un modèle de lutte dans la voie de Dieu. Elle était un modèle de clarification. Son sermon majestueux à la mosquée de Médine, est une clarification incomparable, une leçon pour tous. Elle était un modèle de rôles féminins, d’épouse, de mère, d’éducation de Zeynab et bien d’autres valeurs islamiques. Ce sont des concepts extérieurs que nous pouvons comprendre et percevoir. Les concepts intérieurs et célestes nous dépassent et ne peuvent être décrits.
Mais en ce qui concerne le « Maddahi » [la récitation d’élégies et les chants religieux], ce que je vais dire aujourd’hui, inclura quelques mots sur ce sujet. Aujourd’hui, le Maddahi (chant religieux) est l’un des domaines très importants qui méritent des recherches. Il ne s’agit plus simplement de venir, de chanter, de faire pleurer les gens et des choses de ce genre. Aujourd’hui, le Maddahi est devenu un phénomène dans notre pays, qui mérite d’être étudié et d’être l’objet de recherches. Que signifie la recherche ? [Cela signifie] « sonder les profondeur » comprendre ce qui se cache derrière la poésie, le chant, la mélodie et la performance. [Cela signifie] « identifier les zones vulnérables » — examiner les faiblesses possibles qui peuvent exister et rechercher les « voies de croissance » — déterminer ce que nous devons faire pour nous assurer que le Maddahi avance sur un chemin de croissance et progresse vers la perfection. C’est un ensemble sur lequel un groupe de savants et de chercheurs doit et peut travailler. C’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui.
Bien sûr, le Maddahi existait aussi dans le passé. Il y avait des chanteurs religieux et des élégistes quand j’étais jeune aussi mais ce n’était pas aussi répandu ni en aussi grand nombre. Ils n’avaient pas la même connaissance, ni le même niveau de compréhension [que les chanteurs d’aujourd’hui] mais ils existaient bel et bien. Il est vrai qu’ils avaient certains mérites. Par exemple, ils récitaient de mémoire de longues odes éloquentes. Mais dans l’ensemble, la distance entre le Maddahi de ma jeunesse et celui d’aujourd’hui est immense. Le Maddahi est devenu un phénomène remarquable dans notre société. Je dis cela pour que nos chers chanteurs et élégistes réalisent l’importance de ce qu’ils font. Bien sûr, vous le savez déjà. Les poèmes et les paroles d’aujourd’hui montrent qu’ils comprennent où ils se trouvent et quel devoir ils ont. Maintenant, après plusieurs décennies, ce phénomène très important du Maddahi est apparu comme un élément influent dans le pays. Nous en avons besoin. Nous devons renforcer les facteurs qui influencent les esprits, les idées et les cœurs des gens. D’abord, nous devons les identifier, puis nous devons les renforcer. C’est le point principal que je souhaitais dire, et je vais y revenir sous peu.
Bien sûr, tous les chants religieux ne sont pas du même niveau. Il existe divers degrés. Tous les phénomènes sont ainsi et tous ne se ressemblent pas. Certains sont supérieurs et plus élevés, d’autres sont plus moyens. Mais ce qui peut être dit de manière approximative et en termes généraux, c’est qu’aujourd’hui, les chants religieux servent de base à la littérature de la résistance. Aujourd’hui, les chants religieux sont une base pour la littérature de la résistance. Si une idée existe, mais que la littérature appropriée pour exprimer cette idée n’existe pas, cette idée mourra. Produire une littérature adaptée à une pensée ou une idée, exige une grande compétence. L’un des centres et l’une des bases qui compilent, propagent et transmettent une telle littérature — la littérature de la résistance — est le domaine des chants religieux et des heyats [institutions sociales qui pivote autour de l’amour des Ahl-ul-Bayt].
Eh bien, qu’entend-on par « Résistance Nationale » ? Quand nous parlons de la littérature de la Résistance Nationale, que signifie l’expression « Résistance Nationale » ? Aujourd’hui, les gens parlent du Front de la Résistance. Qu’est-ce que c’est ? À quoi résistent-ils exactement ? La Résistance Nationale signifie faire preuve de résilience face à toute sorte de pression que l’ennemi inflige dans différents domaines de la vie d’une nation, afin de forcer cette nation à se rendre. Cette fermeté face à de telles pressions, est ce que nous entendons par résistance. C’est-à-dire endurer, résister, tenir fermement, être constant, couper la main et éliminer l’influence de l’ennemi.
Cette pression dont nous parlons, peut se manifester sous diverses formes, mais cela ne change rien [à sa nature]. Parfois, c’est une pression militaire que nous avons nous-mêmes connue. La jeune génération ne l’avait pas vue auparavant, mais maintenant, si. Nous l’avons vue aussi il y a 40 ans - cette pression militaire visant à forcer la République islamique à accepter une demande imposée - cette pression peut être exercée par des moyens militaires, par des moyens économiques ou par la propagande et le brouhaha médiatique. Regardez juste [les contenus sur] les réseaux sociaux, les stations de radio étrangères, les déclarations non seulement des journalistes et des reporters, mais aussi celles des hauts responsables militaires et des figures politiques, à travers le monde. Tout cela est dirigé vers un seul point et un seul but. Ce but est d’exercer une pression pour briser la fermeté et la résistance des nations et la résistance de la nation iranienne en tête de liste. C’est ce qui se passe aujourd’hui. Cela peut inclure des pressions militaires, économiques, des sanctions par exemple, des pressions médiatiques, des pressions dans l’espace virtuel, l’infiltration d’espions et d’autres méthodes similaires.
L’objectif de cette pression peut être l’expansion territoriale, comme ce que les Américains font actuellement contre certains pays d’Amérique latine. Cela peut concerner les ressources souterraines, par exemple, en exerçant des pressions pour s’emparer des ressources pétrolières d’un pays. Ou bien cela peut concerner des questions culturelles et religieuses, ou des pressions pour changer le mode de vie, souvent par le biais des médias. Plus fondamentalement, cela peut être une pression pour changer l’identité. Changer l’identité. Depuis cent ans, les Occidentaux qui sont arrivés en Iran à la fin de l’époque des Qâdjârs, ont toujours cherché à changer l’identité de l’Iran, celle du peuple iranien, son identité religieuse, historique et culturelle. Reza Chah a fait le premier pas, mais il a échoué. D’autres ont agi de manière plus politique, ont fait certaines choses, mais ont échoué. La Révolution islamique est arrivée et a balayé tout cela. Les pressions pour changer l’identité du peuple iranien ont échoué. En tous cas, dans tous ces cas, la résistance est nécessaire. Que signifie la résistance ? Cela signifie la capacité de résilience, la persévérance, la fermeté, le refus de se soumettre et les tentatives pour neutraliser les pressions. C’est la définition de la résistance. C’est ce que nous entendons aujourd’hui, lorsque nous parlons du Front de la Résistance. Il fut un temps où celui-ci n’existait qu’en Iran. Aujourd’hui, il s’est étendu aux pays de la région et même au-delà de la région dans certains cas. La résistance s’est progressivement étendue.
Bien sûr, depuis la victoire de la Révolution islamique, notre nation a pu résister, tenir fermement et refuser de se soumettre aux pressions de l’ennemi. Ils [les ennemis] ont tout essayé. Eh bien, j’en ai parlé et j’ai répété ces choses de nombreuses fois, donc je ne veux pas redire ce qu’ils ont fait. [Mais] certaines des actions de l’ennemi contre la nation iranienne ont été d’une telle ampleur qu’elles auraient totalement anéanti tout autre pays ou toute autre nation qui les auraient subies. La République islamique a résisté fermement avec une fermeté et une résistance sans équivoque.
Notre Maddahi (chant religieux) a évolué dans cette direction depuis le tout début de la Révolution. Pas entièrement, mais cela a commencé à cette époque et pendant la guerre où il a atteint son apogée. Pendant la guerre, chacun de ces martyrs est devenu une bannière qui a maintenu la nation iranienne debout, et c’est grâce au travail des chanteurs religieux que cela s’est produit. Ils ont accompli cela. Lorsque le corps d’un martyr était ramené, sans eux et sans leurs épopées poétiques qui résonnaient dans l’air et captivaient les cœurs des gens, ce martyr aurait été oublié. Leurs actions étaient semblables à celles de Zeynab (AS) qui a gardé Karbala vivant et l’a préservé dans l’histoire. Cet effort a commencé au début de la Révolution, a continué jusqu’à aujourd’hui et existe encore aujourd’hui. Bien sûr, toutes les réunions de Maddahi [réunions pour la récitation d’élégies et de chants religieux] ne ressemblent ou ne ressemblaient pas à notre réunion d’aujourd’hui. J’en suis conscient. Mais dans toutes les réunions, il y a une tendance, une perspective et un mouvement vers le concept et l’exemple de la résistance, en Iran.
Mon point de vue en bref, est le suivant et je souhaite le dire en une seule phrase. Aujourd’hui, nous sommes engagés dans quelque chose qui dépasse les conflits militaires qui ont eu lieu et que vous avez vécus, et certains, de manière délibérée, essayent de maintenir la population dans le doute et de créer de l’anxiété, mais ils échoueront, in-cha-Allah. Nous sommes désormais au cœur d’un conflit de propagande et d’un conflit médiatique, avec qui ? Avec un large front.
Nous sommes dans une guerre médiatique et spirituelle. L’ennemi a compris que la conquête de ce pays, de cette terre divine et bénie, par la pression ou par des moyens militaires, est impossible. Il a compris que pour réussir à intervenir ou obtenir des succès, il devait changer les cœurs, les esprits et les pensées. Ils sont donc allés dans cette direction. Bien sûr, nous avons résisté fermement, mais le danger réside. C’est la ligne (de combat) de l’ennemi aujourd’hui. L’objectif de l’ennemi dans notre pays, est d’effacer les brillants principes de la Révolution. Leur but est de détourner progressivement le peuple de la Révolution, des objectifs de la Révolution, des actions réalisées pendant la Révolution et de l’Imam de la Révolution. C’est pour cela qu’ils [les ennemis] travaillent. Ils dépensent des milliards, ils ne le disent pas mais nous le savons. Ils dépensent des milliards. Ils emploient des écrivains, des artistes, des auteurs de livres, des romanciers, Hollywood et autres, et utilisent divers moyens pour changer l’esprit du jeune Iranien. Ce front actif en face de nous, est un large front. Il est centré aux États-Unis, avec autour d’eux, certains pays européens, et à la périphérie, des mercenaires, des traîtres, des individus sans patrie réunis en Europe et ailleurs, pour obtenir quelques gains matériels. Ce sont leurs méthodes. Nous sommes confrontés à eux.
Par conséquent, le front de la Révolution et les responsables de la résistance doivent identifier cette situation de l’ennemi et organiser leur propre ligne de défense en fonction de l’ordre et des objectifs de l’ennemi. Dans les affaires militaires, notre formation des rangs dépend des objectifs de l’ennemi. Lorsque nous voyons que l’ennemi veut attaquer un point particulier, nous adoptons une formation militaire qui fera échouer son attaque. Ce travail doit également être effectué dans le domaine de la propagande. La propagande doit être orientée dans la même direction que celle ciblée par l’ennemi, à savoir les enseignements islamiques, chiites et révolutionnaires. L’ennemi a ciblé cela, nous devons nous y opposer. Bien sûr, ce n’est pas facile, mais heureusement, aujourd’hui, nous avons de nombreux savants dans les écoles religieuses, qui travaillent, réfléchissent sur ces domaines, et ont apporté des contributions précieuses dont la communauté des chanteurs religieux du pays peut absolument bénéficier.
Vous, les chanteurs religieux, pouvez transformer les cérémonies auxquelles vous participez en centres engagés envers les valeurs de la Révolution et [d’autres] vertus. Cela est particulièrement vrai aujourd’hui, où les jeunes sont heureusement de plus en plus attirés par ces rassemblements. Aujourd’hui, la tendance des jeunes à rejoindre les heyats est assez forte. Ce n’était pas comme ça dans le passé. Aujourd’hui dans diverses villes, comme nous en sommes informés - nous le voyons à la télévision ou l’apprenons par des informations directes - les jeunes montrent heureusement de l’intérêt, font des efforts et travaillent dur. Cela doit être apprécié et la jeune génération doit être protégée contre cet ennemi obstiné et malveillant, qui a tant de ressources, malheureusement.
Dans vos chants sur les Imams (AS), je vous recommande de mettre en avant la clarification des enseignements religieux. À mon avis, les Imams (AS) ont accompli deux tâches majeures. L’une était de clarifier les enseignements religieux et a permis de préserver les enseignements islamiques. S’ils n’avaient pas clarifié ces enseignements islamiques, rien de l’Islam — rien de ses enseignements authentiques — n’existerait aujourd’hui. C’était une tâche. L’autre était la lutte. Les Imams étaient engagés dans la lutte. J’ai longuement parlé de ce sujet pendant de nombreuses années. Tous les Imams étaient engagés dans la lutte. C’est-à-dire, après le Commandeur des Croyants [l’Imam Ali (AS)] — à l’époque de l’Imam [Hassan] Mujtaba, l’époque du Maître des Martyrs [Imam Hussein] et des Imams suivants — tous étaient engagés dans la lutte contre le système du califat et les ennemis de la vérité. Chacun a lutté selon sa propre méthode et sa propre approche, mais ils ont tous lutté. Cela doit être communiqué en racontant la vie des Imams. Donc, une recommandation est de clarifier les enseignements religieux et d’expliquer les enseignements liés à la lutte et à l’action révolutionnaire.
Une autre recommandation est que face aux ennemis, ne vous limitez pas à défendre les questions sur lesquelles ils sèment le doute. Bien sûr, la défense est nécessaire et les insinuations de l’ennemi doivent être réfutées mais l’ennemi a de nombreuses faiblesses. Ciblez ces faiblesses et frappez-les. Frappez-les en utilisant des concepts poétiques. Aujourd’hui, certains frères ont montré, heureusement, que nous avons de bons talents dans ce domaine.
Une autre recommandation est que vous enrichissiez la chaire [du Maddahi] avec les forces de l’Islam — que ce soit dans les questions personnelles, les problèmes sociaux, les questions politiques, ou lorsque vous parlez de l’ennemi. L’Islam contient des enseignements profonds et possède de grandes forces dans ces domaines. Remplissez vos programmes avec ces enseignements afin que ceux qui participent à votre réunion, vous regardent et écoutent vos paroles et votre performance, et bénéficient grandement du Coran et des concepts coraniques. Transformez le Maddahi en un instrument puissant et efficace pour promouvoir la religion, les concepts religieux et les idées révolutionnaires. Cela se produit déjà dans une grande mesure. Augmentez cela, renforcez-le, généralisez-le et assurez-vous que cela est présent dans tous les cadres. Parfois, l’impact d’une élégie bien conçue et pleine de sens, récitée depuis votre chaire, est bien plus grand et plus durable, dans le cœur de votre public, qu’une ou deux conférences sur la logique, la philosophie et le raisonnement.
Il a été question de bonnes voix. Veillez à ne pas faire d’erreurs dans ce domaine. Les mélodies de l’époque du Taghut [ancien régime] ne doivent pas s’infiltrer dans nos cercles religieux. On entend parfois cela dans certains endroits. Soyez prudents. La mélodie du Maddahi est la vôtre et elle vous appartient. C’est votre propre création. Vous ne devez pas permettre à ce qui appartient à vos ennemis — des ennemis contre lesquels vous vous êtes soulevés et contre les enseignements et la culture corrompue desquels votre nation s’est révoltée — de s’infiltrer dans vos œuvres et vos discours.
Par conséquent, ce que je sens et vois, c’est que, heureusement, parmi les instruments importants pour le progrès du pays, le Maddahi occupe une place spéciale. Vous travaillez et faites des efforts, et comme je l’ai dit, ce domaine a besoin de recherches. Ses points faibles doivent être identifiés et son chemin vers la perfection doit être découvert. Des contenus appropriés et peut-être des mélodies appropriées doivent être préparés et fournis. Préservons le Maddahi, sauvegardons-le, perfectionnons-le et profitons-en.
Permettez-moi de vous dire que, par la grâce de Dieu, la République islamique progresse. Nous avons des lacunes, les tempêtes de poussière dans le Khuzestân ont été évoquées. C’est l’un des plus petits problèmes. Il y a aussi d’autres lacunes dans le pays, mais le pays avance et progresse. Jour après jour, le peuple iranien apporte de l’honneur à l’Islam. Il montre que l’Islam signifie résistance, l’Islam signifie force, l’Islam signifie sincérité et pureté, l’Islam signifie bienveillance et quête de justice. Progressivement, le peuple iranien montre tout cela. Bien sûr, les grandes transformations dans un pays, ne sont pas immédiatement visibles, elles sont progressives, elles prennent du temps, ce n’est pas un changement immédiat et cela ne se réalise pas en un instant. Cela se fait progressivement, mais je tiens à dire qu’avec l’aide de Dieu, la société progresse, petit à petit. Les adolescents d’aujourd’hui sont bien plus avancés dans les questions religieuses, à l’exception peut-être des tous premiers jours de la Révolution, et si Dieu le veut, ils progresseront encore plus dans l’avenir.
Que les âmes sacrées des martyrs et l’âme sacrée du magnanime Imam [Khomeiny] qui a tracé cette voie pour la nation iranienne, soient satisfaites.
Avec mes salutations et que la miséricorde d’Allah et Ses bénédictions vous accompagnent !