"Nous avons fait des progrès extraordinaires dans des domaines qui suscitaient notre intérêt et l'intérêt de nos responsables culturels et scientifiques. Cela signifie que nous ne devons pas douter de nos capacités pour le progrès. C'est une réalité évidente. Au début de la Révolution, il y avait environ 170000 étudiants dans notre pays mais aujourd'hui, nous avons plus de quatre millions d'étudiants. A cette époque, nous n'avions que 5000 professeurs. Après la victoire de la Révolution, je me souviens qu'on répétait constamment que nous n'avions que 5000 professeurs. Certains d'entre eux quittaient le pays et nos responsables gouvernementaux en faisaient constamment le compte annonçant par exemple, que dix professeurs avaient quitté le pays. Aujourd'hui, le nombre de professeurs dans notre pays est beaucoup plus élevé que cela. Nous avons des dizaines de milliers de professeurs dans le pays, 200 universités et 2000 instituts d'enseignement supérieur. Ce ne sont pas de petites réalisations. Nous avons fait tous ces progrès dans des conditions difficiles. Ces sanctions qui disent-ils ont augmenté, existent depuis le début. Nous avons également eu la guerre et une baisse du prix du pétrole à des stades différents. Les ennemis nous ont imposé de nombreux problèmes intérieurs. Notre population a augmenté. Au début de la Révolution, la population de notre pays était de 35 millions d'habitants et a doublé depuis. Nous avons dû faire face à toutes ces questions mais heureusement nous avons réalisé tous ces progrès."
(Extrait de : Discours du Guide suprême aux enseignants et aux universitaires de la province de Khorasan du Nord, 11 octobre 2012)